Vendredi 15 août 5 15 /08 /Août 14:31

 


 

 

Issu d'une mère volage, de père inconnu turbulant, je fut placé en famille d'acceuil à l'âge de 6 ans, cette famille était composée de: l'homme ivrogne, la femme pas mieux mais plus modérée et d'un fils de 17 ans dans une maison de 2 pièces cuisine ( salle à vivre, chambre parents, coin cuisine, wc au fond du jardin et grenier) nous sommes dans les années 50 60, la salle à vivre servant de chambre au fiston non loin de la cuisinière.

La charge du fiston que je vais nomé LG avait pour mission de me mener à l'école et de me récupèrer le soir.

Au début rien ne se passa sur le chemin du retour(petites rues, endroits buissonneux et usines) 5 km à pied le matin 5 le soir, non loin du travail d'LG comme charbonnier, puis un soir, une jeune fille de son âge attendait à l'abris des yeux au pied d'un buisson, il alla vers elle, l'embrassa, me disant de faire le guet, des embrassades à n'en plus finir ont durées de l'automne au printemps du fait de la pénombre du soir, un jour,faisant suite ses atouchements quotidiens sous la culotte pendant qu'elle lui triturait ce qui lui servait à uriner, il a voulu lui glisser son engin à l'endroit convoité, il reçu une gifle magistrale, elle est partie en courant, le laissant là bandant tout penaud puis il se mis à agiter son membre de sa main jusqu'à une éjaculation orpeline dégoulinant entre ses doigts, depuis le début de ses frasques il m'avait fait jurer contre récompenses ( caramels mous bonbons ect...) de ne rien dire à personne SINON...nous rentrâmes comme à l'habitude, soupions, et au lit.

Ce n'était pas varié, dans l'espace restreint ou nous vivions, mangions couchions, LG décida de faire une chambre au grenier, qui fut dit fut fait, il a percé un trou dans le plafond, accès échelle, plafond avec des cartons,clarté par un carreau glissé sous les tuiles et la chambre fut amènagèe d'un lit en fer, d'une table de nuit et d'une table de toilette avec une cuvette, un broc et sur l'étagère du bas un vase de nuit( pot de chambre ), il est vrai que c'était plus vivable, mais l'été c'était la fournaise, l'hiver avec la chaleur montante c'était presqu'agréable, mais le bougre n'avait pas fait tout cela pour son confort, il avait une idée bien ancrée dans son crâne de salopard.

Nous avions l'habitude de dormir l'un dans l'autre ( en chien de fusil ), et maintenant l'été en forte chaleur à poil sur le drap, un soir d'été après une après midi baignade à la rivière qui était juste au bout du terrain, après souper nous allons au lit allongés à poil puis il pritb un caramel mou qu'il pressa entre ses doigts de façon d'en faire une sorte de galette grosse comme une pièce, se la colla autour du gland et il m'obligea de prenre ma récompense en la suçant, j'ai obtempéré et, roublard, je fit en sorte de décoller la friandise pour savourer, mais cela ne devait pas être son objectif car après un laps de temps il me proposa un autre caramel mais il fallait que je le suce, gourmand, sans savoir ce qui matendait, je me suis executé, il m'inposa un va et viens avec ma bouche, puis au bout d'un temps il me prit la tête dans ses mains en jetant un coup de reins puissant entrant sa bite au fond de ma gorge à en vomir puis m'intredisant tout recul il laissa échapper un liquide épais salé sucré dans la bouche me forçant d'avaler ensuite il m'a donné ma friandise et s'est retourné pour dormir.

il a récidiver plusieurs fois voire 3 à 4  fois la semaine et vint la rentrée des classes avec son train train continu, mais il avait reconquit sa belle et tous les soirs j'avais droit de voir son flirt et son exitation, elle le branlait il la branlait mais STOP pas plus loin, de ce fait il était exité tous les soirs au lit et j'avais droit a ce que je lui fasse une fellation, lorsqu'un soir, les sirènes de la ville se mirent à hurler pour avertir un incendie, le père étant pompier s'habilla et parti, la mère curieuse sortit et vit les flammes au loin au dessus de la ville se vetit et parti elle aussi,nous nous sommes recouchés, au réveil je fut surpris de trouver les draps mouillés ainsi que mes fesses croyant avoir uriné au lit, j'ai réveillé LG qui, en fait ne dormai pas, et me dit: je ne dirai rien, on va faire sècher sur le pied de lit, ça y est il me tenait, le soir MÊME après souper au lit, il m'a dit de  retirer ma chemise de nuit pour ne pas la moiller au cas ou, nous nous sommes mis comme d'habitude en chien de fusil et il glissa son sexe entre mes fesses en un mouvement de va et viens, il m'enserrai la taille de son bras de façon a ce que je ne puisse me soustraire, au bout d'un temps il me gicla son foutre dans la raie, je compris à ce moment là l'incident de la nuit passée, puis il m'embrassa dans le cou me mis sur le dos et en remerciement il se mit à avaler mon pti bout les couilles avec, cela m' a donné l'envie d'uriner puis il me branlait ( de deux doigts...) bien sûr, n'y tenant plus je me suis lâché en urinant dans cette bouche chaude agréable, il recracha dans une serviette et m'enroula  la bite avec celle-ci pour juguler le jet de pisse que je continuai à ejecter, ceci recommença plusieurs fois jusqu'au jour ou, après que se parents après une dispute suite à une soirée arrosée, les entendants ronfler il descendit l'échelle remontant avec un morceau de margarine il me retira ma chemise, me graissa la raie avec cette matiere grasse et chatouilla ma rosette et de temps à autre risquait le bout de son doigt dans mon trou, il se glissa sous les draps et glissa le bout de sa langue dans mon orifice à plusieurs reprises, il me mis sur le ventre et posa son gland décaloté sur ma rose en forçant doucement dans un va et viens très lent, il remis du gras et de la salive, j'ai senti une douleur plus intense, il avait rentré son gland,et d'un geste il m'a appuyé latête dans l'oreiller, forçant d'un seul coup de reins pour s'enfoncer en moi un maximum, j'ai crié de douleur, mais la bouche dans l'oreiller personne ne pouvait entendre, il resta figé au fond de moi puis doucement il a repris son mouvement de va et viens jusqu'à ce que je sente dans mon ventre un liquide chaud se répandre par secousses successives, je pleurai de douleurs mais il m'a donné ma récompense, il me leva, me posa sur le pot et attendit que je me relève pour me passer un gand de toilette sur mon cul en feu, me coucha et me passa la langue sur l'anus qui faisait l'effet de calmant.

Le lendemain à l'école à la récré, croyez moi que je n'ai pas couru après le ballon bi autre chose

Après plusieurs jours de friandises et de petits cadeaux, il m'expliqua que ce qu'il me faisait était réservé uniquement aux adultes, mais si je continue de ne rien dire il m'offrirai bien plus.

Tout le temps de mon hébergement n'à été que des nuits consacrées à mon cul et sa bite, en dernier sans préliminaires, il m'enculai dans toutes les positions imaginables, souillé ou pas souillé rien ne le rebutait, je ne ressentai plus de douleurs, mais certains jours j'avai du mal à marcher suite à certaines nuit à plusieurs chevauchées, il s'exitai à fond sur sa copine et la bite pour moi

La vidéo est de moi : MES PLAISIRS SOLO

Par trounormand27 - Publié dans : gay passif - Communauté : gay passif
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