GAY-BI : TROU NORMAND 27

''ai commencéÀ vingt ans je me séparais de ma copine et enfants, je n'arrivai pas à trouver le plaisir ressenti avec les hommes, je me godai, me suçai en cachette je me gode toujours (presque toutes les nuits) dormant avec mon gode inséré au plus pro fond de mon trou, je ne puis plus m'auto sucer (très mal aux vertèbres pour cause + montravail de charpentier), je suis marié à une superbe femme ( ex mannequin ), mais depuis 10 ans je couche seul prétextant que je bouge toute les nuits à cause de mon mal de dos, comme cela je m'occupe de mon cul à volonté de plus je puis me filmer et prendre des photos.

Je suis devenu tellement addict que j'ai envie de l'un de mes godes toute la journée en attendant le soir avec impatiente.

Lors de l'un de mes déplacements j'ai eu la chance de rencontrer un superbe transexuelle, j'en suis tombé eperdument amoureux bien qu'étant que passif cela a duré 3ans il y a peu de temps rappelée à barcelone son adresse et sa famille, j'ai passé des heures inoubliales, nous correspondons toujours par le net,j'ai eu 4 femmes, bien que bien dressées au vice elles n'ont jamais comblé  ce que j'ai goûté antérieurement.

j'ai commencé avec des godes bricolés par moi,des courges, des petites bouteilles, puis des godes du commerce que je trouve ridicules par rapports à ce que j'ai actuellement (voir photos de mes albums), de démarrer avec des 4 cm de diametre 20 de long pour finir avec des 10 cm de diametre 35  de long en passant par des mensurations intermédiaires il faut du temps mais c'est tellement bon, je possède même des sondes pour l'urètre, un nexus pour la prostate, un tenga pour la bite, du j-lube comme lubrifiant ect ect ect....

un jour mon voisin partant en vacances m'a demandé de m'occuper de son poney, j'ai accepté sans arriere pensée mais le jour ou je l'ai conduit au pré le voyant semi bandant une idée m'a traversé l'esprit, ayant prevenu ma femme de mon absence en prétextant de changer la litiere de l'animal.

Un peu peureux, je lui ai mis son licol attaché à sa mangeoire j'ai commencé à lui frotter le ventre en explorant son membre au passage, une longue et grosse queue se déplia, il me regardai en coin de son gros oeil, je m'enhardi et le branla un peu cela devenait plus raide mais quand même molasson je psis une botte de paille que j'ai glissé sous son ventre me suis déculotté et branler sa bite à mon cul, quand il a senti la chaleur de mon cul il mis un coup de reins pour entrer, heureusement que je tenais son engin à environ 20 cm au dessus de son gland car il entra les 20 cm c'était fort, puis il lâcha sa semence abondante en mon cul et se retira, pour la 1ère fois je n'ai pas insité plus loin, car il était agité et je craignait, je l'ai emmené au pré et pour le calmer je lui donnai des pommes et du sucre, ce qui le détournai de l'envie de me saillir.

Le lendemain non satisfait de mon expérience je me suis présenté à son boxe mais dès qu'il m'a vu il s'est redressé sur ses pattes arrières voulant me grimper, je n'étais pas rassuré car n'habitant pas loin des haras, les chevaux mordaient la crinière des juments au moment de les saillirs, j'ai pris le tablier en cuir du propriétaire ( dont il se servait pour ferrer les chevaux) je l'ai mis sur ma tête couvrant aussi mon dos et debout appuyer au ratelier je lui ai présenté mon cul, ce n'était pas la peine on aurai dit qu'il avait deviné, toujours aussi sauvagement il mis ses pattes sur mes épaules et cherha l'entrée, dès qu'il sentit mon trou tout chaud il poussa et entra, il vaut mieux épousé le mouvement car il aurait tout mis et m'aurait transpercé la relation est brève mais avec sentation, au bout d'une semaine il s'était assagit il me prenait avec plus de douceur puis j'ai trouvé l'astuce de le branler jusqu'à ce qu' il éjacule, et peu après je lui présentait mon cul, cela durait plus longtemps et moins virulant, je pouvais m'empaler sur son manche à profondeur voulue sans qu'il veuille aller plus au fond, pour finir je me masturbai, l'emmenai au pré et rentrait, cela a duré trois semaines mais il y a des jours ou il ne voulait pas, peut être fatigué, mais je savais quand c'était mon jour, il bandait.

Mon voisin rentrant de nuit, n'a pas eu le temps de ranger sa voiture au garage,HEUREUSEMENT, elle était dans la cour, autrement il m'aurait surpris à soulager son poney, il me salua et fatigué de la route me laissa s'occuper du poney, il avait envie car il bandait, je dis à son maître:<< je ne sais pas ce qu'il a mais il bande tout le temps et il me mordille la nuque>><< il a senti sa maîtresse car il a toujours ce réflexe quand elle l'étrille>>je suis resté sonjeur mais c'est peut être la vérité mais moi il fallait que je trouve autre chose.