GAY-BI : TROU NORMAND 27

Je ne vais pas ici vous raconter les 5 années qui ont suivies le calvaire enduré, mais ma mère n'avait pas changée, toujours le feu au cul et collection de mâles, 4 ème mari et 5 lardons en + ce qui fait 6 moi y compris,et pour avoir son espace libre m'avait trover des occupations durant ces annèes: catéchisme, gymnastique,fanfare du quartier, scouts et natation, c'est dans cette dernière discipline queue j'ai connu mes jouissances anales, inscrit à un club de natation 3 fois par semaine entrainement, 2 soirs et dimanche matin garçons et filles drivées par 3 maitre nageur qui avaient chacun un groupe en responsabilité, le mien que j'appellerai M était âgé de 25 ans, barbu, bien balancé avec un slip de bains moulant.

À mesure des entrainements, je me représentai ce qu' était la bosse dans le slip de M, à force d'y penser cela me rappelait les fellations forcées avec LG mais aussi le plaisir ressenti losrsqu'il me suçait la bite et ma rose, car tout ne fut que calvaire, je fantasmai jusqu'à me masturber dans mon lit le soir.

Un jour en chahutant autour de la piscine, en courant j'ai glissé et me tordi la cheville, je fut mené à la salle qui servait de premiers secours M est venu masser ma cheville, au bout d'un temps, en regardant la bosse au slip ne sachant ce qu'il m'a pris, j'ai embrassé avec fougue cet objet caché ce qui déclencha chez M un geste de recul en levant sa main prêt à me gifler, se ravisa et sorti rougissant de la salle sans rien dire TRES SURPRIS je pense de mon comportement.

Les entrainements continuèrent normalement, bien que (M) évitait de se retrouver à ma proximité moi essayant de lui lancer des regards en lui faisant comprendre que je n'étais  pas indifférent à sa bosse puis un dimanche matindu mois de novembre, je crois, tellement  j'avais envie de retrouver certaines séances passées, je me suis rendu à son domicile, crevé la roue de mon vélo, et sonner à sa porte,il me reçu en pyjama interloqué, je lui ai dit:<<En passant non loin de chez toi j'ai crevé et je n'ai rien pour réparer>> il me fit entrer, m'invitant de partager son petit déjeuner nous parlions de choses et d'autres quand il aborda le sujet << qu'est ce qu'il t'a pris le jour ou tu as embrassé mon slip >> je ne sus que répondre << je n'sais pas j'ai eu envie >> puis il me questionna de plus belle << tu l'a déja fait avec tes copains ect ect ect...>>, à la fin de son interrogatoire et n'y tenant plus je lui ai confié ce que j'avai vécu antérieurement tout en taisant le nom en lui disant que j'avai juré ma vie durant de n'en parler à personne, durant mon récit j'ai remarqué qu'à certains moments il y avait une lueur dans ses yeux puis il se leva en me disant: << je me rechange et l'on va voir ton vélo >> il me tourna le dos pour aller à sa chambre, je me suis rué sur lui atteapant son membre et l'engloutit en ma bouche à une vitesse fulgurante l'interdisant sur le coup de prendre une résolution, il bandait à moitié le gland humide ( la réaction de mes récits) et il banda très fort se laissant travailler la queue comme je l'avai appris jusqu'à la jouissance, il voulut se reculer, je le retint et il continua de m'innonder la bouche de son sperme, il fut surpris que j'ai tout avalé au dernier soubressaut je l'ai libéré de ma bouche denenue ventouse, il me prit dans ses bras m'embrassa dans l'oreille et m'a dit << pti con va, c'était bon, ne recommence plus et ne t'en vente pas.

j'ai prétexté d'aller aux toilettes pour me branler jusqu'à l'éjaculation.

Un bout de temps après cet incident j'avais une envie folle de me faire enculer par (M) car j'étais las de gaver mon cul avec des petits objets,pour provoquer M, en plongeant j'ai volontairement baissé mon slip faisant apparaître ma raie il faisait mine de ne prêter attention mais 3 jours après, un jeudi soir il se présenta à ma mère, j'ai eu peur qu'il parle de mes fantasmes quand, surpris, il lui demanda de m'emmener à LYON en compétition junior, il emmènerai certains membres du club dont moi, je croyais moi aussi que cela était vrai, il lui dit que nous serions rentrés le dimanche après midi partant le samedi, le jour fatidique arriva, à 8 h du matin, avec mon sac de sport et les dernières recommandations de la mère, me voilà à ses côtés dans sa 4cv, en parcours je n'ai pu m'empêcher de lui caresser le sexe à travers le pantalon, il banda aussitôt, nous arrivâmes chez lui, tout surpris je lui demande ce que l'on fait là et il m'avoua qu'il avait inventé cela pour être avec moi et qu'il avait tout prévu pour ne pas sortir, j'étai fou de joie ( mon cul aussi ), il prépara des tartines beurrées et avons dejeunés, il me fit part de sa satisfaction pour mon silence car les pédés étaient mal vus (à cette époque), il se déshabilla m'invitant d'en faire de même et m'invita sous sa douche, il me savonna en insistant sur ma raie et ma bite, puis il sorti d'un tiroir d'un petit meuble une poire à lavement, pris un oeuf le cassa et récupèra le blanc dans un verre qu'il versa dans la poire, puis direction la chambre, s'allongea sur le lit en m'invitant d'en faire de même mais contraire ( 69 ) je me suis empresser d'avaler sa grosse bite d'ou s'échappait déja une goutte, jusqu'au fond de la gorge, il fit de même en caressant d'un doigt ma rosette, au moment ou j'ai jouit, il me l'a enfoncé en me massant la prostate ce qui fit décupler mon plaisir, puis il se vida dans ma bouche et se laissa aller de tout son être, après une pose et des caresses il passa aux choses sérieuses, il me mit sur le ventre, l'ècha ma raie en glissant sa langue au passage dans ma rose au bout d'un temps il prit la poire à lavements, l'introduisit dans mo cul en m'innondant le trou de blanc d'oeuf, puis en mit sur mon oeil de vénus, il commença à m'introduire doucement son engin qui entrait tout seul et, surprise j'avai peu mal, il s'enfonça au maximum dans mon cul puis enchaîna un va et viens de plus en plus vite, ça glissait à merveille, il me branlait en même temps, il déchargea par de grosses saccades son liquide chaud au fond de moi c'était sublime, il resta planté dans mon cul un bon moment toujours en me masturbant puis s'allongea à mes côtés, je ne puis parler car j'étais encore sous la sentation de sa merveilleuse bite dans mon cul, il me dit << ça t'a plu >> je n'ai pu lui répondre mais je lui ai saisi la queue pour me faire comprendre, nous nous revêtimes et il prépara le dîner, après le repas nous avons jouer aux cartes une bonne partie de l'après midi en parlant de cul, les garçons les filles les gouines et les PÉDÉS, il m'expliqua vaguement les aprioris des gens tout en me précisant qu'il n'en était pas un et qui de plus il avait une copine dans le midi, et nous soupâmes, ensuite retour à la chambre et là tout de go il m'a proposé de le sodomiser, j'ai hésité, car ce serait la première fois que je baise vraiment doutant de ne pas être à la hauteur, après une longue préparation exités mutellement par nos lèches et nos caresses je me suis lancé, il se graissa la raie avec de la vaseline et m'invita à le pénétrer j'ai doucement pénètrerson oeillet et d'un coup de reins il s'et empalé lui même sur mon sexe forçant jusqu'à espèrer que mes couilles entrent aussi il se mit lui même en mouvement, j'étai bien dans ce trou chaud et pour moi c'était une découverte, au bout d'un temps n'y pouvant plus, j'ai lâché mon jet de sperme en son cul qu'il écartait au maximum de ses mains pour ne pas en perdre une seule goutte,je restai planté tellement c'était bon, je commençai à débander, il a dû le sentir et m'a invité à me retirer doucement, m'essuya, s'essuya, et m'invita à lui faire une fellation pour terminer de le satisfaire, cela dura peu de temps, sans doute exité par la séance précédente, il me jouit en bouche avec peu de sperme.

Nous nous endormimes en chien de fusil en gardant un contact permanent avec son jouet d'amour.

Le lendemain matin,le pti déj terminé il m'invita de lui montrer ce que japrenai en gym au sol, car il ne pouvait pas faire son jogging de peur q'un hasard ma mère l'aperçoive, je lui ai appris quelques exercices au sol puis il me demanda si je pouvais mettre ma tête entre mes genoux, chose aisée pour moi car depuis le temps que je pratiquai j'étais pour dire, presque désarticulé, une fois démontrer il m'a demandé de passer mes pieds derrière ma tête, facile pour moi à cet âge, vers 10 h du matin son apétit sexuel revint, m'invita sur le tapis de la chambre et me fit passer les jambes derrière la tête, étant tout nu je vis ma queue presque à mes lèvres ( j'ai compris ou il voulait en venir), lui offrant mon cul distendu rose entrouverte, il s'introduisit en moi et me guida de sa main mabite dans ma bouche en pesant de tout poids sur mon cul afin que j'avale ma queue un maximum c'était l'apotéose, la folie, je voyais sa queue disparaitre et réaparaire de mon trou je jouit dans ma bouche avalant mon propre sperme c'était dément, une fois qu'il ai joui lui aussi, je me redéplié non sans avoir mal au dos, je me suis allongé sur le lit pour reprendre une respiration normale, lui préparant le dîner, aprè ce repas nous discutâmes de l'avenir et m'aremmené à la maison, j'avai le cul en fleur, les jambes molles, ma mère étant absente et mon beau père à la pêche, je suis allé directement me coucher.

Nous avons répété nos folles séances jusqu'au jour ou il m'appris qu'il était muté en PROVENCE, j'ai eu très mal mais rien de comparable à ce que je vais entendre.

Je n'avais aucune nouvelles, et un jour son remplaçant discutant avec les autres moniteurs parlèrent de ( M ) d'une voix basse et là j'ai appris qu'en fait de mutation, de lui même il s'était rendu en provence, car en fait d'une petite amie il s'en fut retrouver son ex collègue.