GAY-BI : TROU NORMAND 27

Après les prouesses de ( M ) en mon cul déçu de la tounure, j'arrivai sur mes 16 ans me tourmantant le cul avec toutes sortes de petits objets, même saucisson à lail ( plus souple) la carotte le petit concombre, mais rien ne remplaçait la douceur, le ressenti d'une queue avec son jet de sperme dans mes entrailles, j'ai donc jeté mon dévolu sur un collègue du groupe de natation que je savais puceau vu qu'il était laid et boutonneux (un refouloir à filles ) mais il était bien charpenté et avait une belle bosse dans le slip, un soir en sortant de l'entrainement je l'ai invité dans un immeuble en construction et là je lui ai touché le sexe, il fut surpris mais en précisant mon geste il commença à bander, je lui ai ouvert la braguette, sorti l'objet de ma convoitise et baissa mon pantalon, dès que je lui ai présenté mon cul, il baissa son froc saliva sa bite et entra d'un coup son manche jusqu'au fond de mon trou, il jouit de suite, il resta immobile un temps puis se retira, rajusta son pantalon et voulu partir sans se soucier de mon plaisir, je me suis rajusté aussi restant sur mon envie et le racompagna vers la sortie en m'avouant que c'était la premiere fois qu'il baisait, cela expliquai sa jouissance rapide.

La semaine d'après, dans les mêmes lieux, je me représente à son instrument, il me pris comme une bête dans des assauts sans prendre considération de mon cul, il se vida se retira puis me laissa sur place une fois satisfait, plus tard je lui ai fait comprendre que notre aventure était terminée.

Suite à cette déception j'ai virésur les filles, j'étai mignon bien balancé, je n'ai pas eu de mal à faire des conquêtes, après mon initiation des préliminaires, je n'avais pas de mal à conclure, puis l'accident ( fille enceinte alors que j'allai avoir 17 ans) et, à cette époque, le mal fait il fallait réparer,d'un commun accord nos parents ont acceptés que l'on se mette en mènage, ce fut chez moi car ma mère interressée par le gain (pension) d' héberger ma copine, c'était bien je pouvais baiser tous les jours si je voulais mais le plaisir ressenti n'égalai en rien les séances avec M.

Je travaillai dans une crierie menuiserie, j'avais la charge avec un collègue(Y) de 40 ans de fabriquer des modules pour des écoles préfabriquées et, à la force de nous cotoyer il a vite compris que les hommes ne m'étaient pas indifférents.

Un jour, au cours d'un inventaire, dans un endroit exigu, nous comptions les modules en stok et en me baissant au bas de la pile j'ai fait exprès de tendre mes fesses contre sa braguette, il defit sa braguette et, surprise il ne portait pas de slip et était rasé, j'ai saisi sa queue dont le gland suintait d'envie je me la suit mise en bouche elle était énorme, je l'ai pompé à fond, il tremblait sur ses jambes libérant son sperme dans la bouche puis me dit:<< je savais que tu aimais cela, et j'attendais le jour ou >>, sur ce il m'invita à un plan nature le midi à lheure du repas.

Midi sonna, il m'emmena dans sa dauphine dans les bois, il prit le plaid, et le mis par terre, il m'invita de baisser le pantalon et de me mettre à 4 pattes, j'étais dans une folle exitation, mon cul demandait, il me saliva la rose et entrepris de m'enfoncer son engin au fond de mon oeillet, sa queue était vraiment énorme, un plaisir, il me remplit les entrailles de son jus chaud par saccades et se retira en me retournant et pris ma bite dans sa bouche jusqu'à me satisfaire, il fallait retourner au boulot car l'on avait seulement 1h et demi pour mourir de plaisir, sur le retour il m'a demandé si je pouvais me rendre libre samedi, j'ai dit oui sans me faire prier, je suis resté trop longtemps sans goûter à une bite pour refuser, je lui dit ok mais ou? il me répondit qu'il emprunterai le studio de son copain.

En prétextant un surcroit de travail à la boite, je devais travailler samedi matin, voire la journée, le jour arriva et me voilà au studio, deux pieces cuisine chambre, il tira les rideaux pour le vis à vis, se désabilla, moi de même et là j'ai vu ce qui m'avait bourré le cul à poil et rasé sa bite était vraiment ÉNORME j'étais impatient de sentir cette matraque me défoncer le trou, mais surprise il a voulu que je commence par lui, il se positiona et je l'ai introduit, il aimait ça aussi le salaud, il se tortillai de plaisir sur mon pieu bien moins gros que le sien il le fit tellement bien que j'ai joui en lui avec un énorme plaisir, je me suis retiré alla me laver et m'allongea à ces côtés nous restâmes ainsi en nous caressant PARTOUT, nous oublions l'heure puis il me fit une langue sur ma rose por l'exiter, puis sallongea sur le dos en m'invitant de venir m'empaler sur cette grosse bite décalottée me laissant le choix du rytme, je m'empalai donc à ma convenance savourant de plaisir, une fois à fond il se cabra pour en mettre plus, je m'agitai lentement puis il m'enssera dans ses bras trappus et là j'ai senti une langue léchant ma raie le sexe et les couilles de mon partenaire, impossible de faire un mouvement, bien que j'aimais cette nouveauté, puis il me dit: << laisse toi faire tu vas connaitre le maxi de la jouissance, ne lui parle pas il est sourd muet>> lèché labouré j'étais comblé mais je ne conaissais pas tout, j'ai senti une deuxième queue se présentant en forçant à mon trou, j'ai apréhendé mais privé de mouvement j'étais obligé de subir, ils devaient avoir l'habitude car Y s'est légèrement retirer pour faciliter la deuxième bite d'entrer, ce qui fut fait, non sans douleur, mais de concert et très bien orchestrés mes deux partenaires  firent en sorte de me ravir sans aucune brutalité, ils ont jeté leur jus l'un après l'autre me remplissant le cul  tout endolori, ils se sont retirés et entreprirent de me faire une fellation du tonerre, jai joui dans la bouche du muet qui aspira ma bite ne voulant plus arrêter, je ne suis pas prêt d'oublier cette séance, qui s'est répétée à plusieurs reprises, je leur ai montré comment je me suçai moi même pendant que l'un d'eux m'enculai, SUBLIME.

J'ai cessé de les revoirs car je commençais à trop m'attacher au point d'habiter continuellement au studio, rien que pour gaver mon cul insatiable.